CNAMGS: le PCA au dessus de la mêlée

CNAMGS: le PCA au dessus de la mêlée
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AD – Libreville (Gabon) – Depuis plusieurs semaines, une campagne organisée cherche à discréditer le Président du Conseil d’Administration (PCA) de la Caisse nationale d’assurance maladie et garantie sociale (CNAMGS).

En cause ? Sa rigueur, son refus des irrégularités, son attachement aux textes. Face à cela, un système qui refuse de changer tente de le salir. Il est temps de rétablir la vérité.

On l’accuse à tort. On l’attaque sans fondement. On utilise la presse, on instrumentalise une association de retraités, et on répète les mêmes mensonges dans l’espoir que l’opinion finira par les croire.

L’homme qu’on vise, c’est le Président du Conseil d’Administration de la CNAMGS, désigné en toute légalité par la Fédération des Entreprises du Gabon (FEG) pour représenter les employeurs.

La société Mika Service est en règle : fin de la polémique

Le cœur de la cabale repose sur une fausse accusation : celle selon laquelle l’entreprise du PCA ne serait pas à jour de ses cotisations sociales et fiscales.

C’est totalement faux.

Mika Service, la société qu’il dirige, est en règle :
à jour de ses cotisations auprès de la CNSS ;
à jour auprès de la CNAMGS ;
et en conformité fiscale auprès des impôts.
Tous les documents sont disponibles, vérifiables et signés par les administrations compétentes.

Pourquoi continuer à mentir ? Parce que la vérité dérange.

Ce qu’on lui reproche en réalité : sa droiture

Depuis sa nomination, le PCA de la CNAMGS a instauré un nouveau souffle :
refus de valider des primes illégales ou sans base réglementaire ;
exigence de documents justificatifs avant tout engagement budgétaire ;
blocage des procédures opaques ;
rappel à l’ordre de la direction générale sur plusieurs points de gouvernance.

Il a simplement joué son rôle : celui de président d’un conseil de surveillance, garant de l’équilibre et de la légalité. Et pour cela, il est devenu un obstacle.

Dans cette opération de déstabilisation, une tribune de l’Association nationale des retraités du Gabon (ANAREG) a été largement relayée dans les médias. Ce texte aligne des accusations déjà réfutées, en reprenant à son compte les éléments de langage d’une partie de la direction de la CNAMGS.

Ce procédé est indigne.
Faire croire à une révolte sociale là où il ne s’agit que d’un désaccord administratif est une forme de manipulation de l’opinion.

La CNAMGS est un pilier de notre système de solidarité. Son Conseil d’administration ne peut pas être réduit à un rôle décoratif, encore moins être soumis à des pressions internes.

Le Président Brice Clotaire Oligui Nguema a promis une gouvernance nouvelle. Cette affaire est une occasion concrète de prouver que ceux qui respectent la loi sont protégés, et non punis.

Le PCA de la CNAMGS n’a rien à se reprocher.
Il incarne une exigence de rigueur dont notre administration a désespérément besoin.
Son entreprise, Mika Service, est en règle.
Son mandat, validé.
Sa posture, juste.

Le laisser attaquer sans réagir, ce serait envoyer un message dangereux : celui que la probité n’a plus sa place dans notre République.

Il est encore temps de choisir la vérité, la loi, et l’intérêt général.

STR/PIM/ad/25

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