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Élection Chambre de Commerce : Francis Jean Jacques EVOUNA, son programme et ses priorités

AD – Libreville (Gabon) – Candidat sur un programme proposant notamment une approche commune pour soutenir les zones névralgiques de l’économie Gabonaise, Francis Jean Jacques EVOUNA, brigue un mandat à la tête de la Chambre de Commerce du Gabon, lors des élections qui auront lieu les 4 et 11 novembre 2022.

Dans le cadre de la campagne à la présidence de cette institution, Francis Jean Jacques EVOUNA  PDG des Sociétés GROUPE AMA Sa, LES FRERES BATISSEURES Sarl, GABON COMPANY INVESTMENT Sarl et SCI SAINTE MARTHE, présente son programme pour la Chambre de Commerce
du Gabon (ChamCom) :
« Être unis pour l’avenir ’’ en vue de Protéger la sécurité
économique du Gabon. »

Le mot de Francis Jean Jacques EVOUNA,

Mesdames et Messieurs les Chefs d’entreprise,

Chers Collègues,

C’est avec un immense plaisir que je salue chaleureusement celles et ceux d’entre vous qui participeront aux élections à la Chambre de Commerce du Gabon, prévues pour se tenir les 4 et 11 Novembre 2022.

Vous êtes nombreux à me demander de briguer le poste de Président de cette Chambre qui, depuis plus de onze années, est dans une situation de non performance et partant, de non compétitivité de nos entreprises.

A cet appel franc et marquant, je réponds, sans détour et sans sourciller par un « Oui » massif et chaleureux.

Voici les trois (3) raisons qui sous-tendent ce oui :

(1) comme moi, vous souhaitez que la Chambre de Commerce constitue, de façon pertinente et efficiente, une vraie aide à la décision pour les Pouvoirs exécutif, législatif de notre pays, en tant que bras séculier économique. Elle apporterait ainsi, pensez-vous comme moi, des solutions concrètes au mal-être des entreprises, sachant que l’entreprise est une source d’inspiration pour l’action publique ou privée ;

(2) comme moi, vous souhaitez que la Chambre de Commerce reconstruise les bases du projet économique de notre pays, capables d’intégrer les problèmes cruciaux que constituent aujourd’hui l’emploi et la croissance, par le prisme de l’entreprise et de l’économie ;

(3) comme moi, vous souhaitez que la Chambre de Commerce explicite les principaux mécanismes et raisonnements qui fondent les politiques économiques, c’est-à- dire les interventions de l’Etat, pour corriger les déséquilibres qui affectent l’économie de notre pays : les crises de tous ordres, le chômage, l’inflation, la dette et le manque d’équilibre de la balance de paiements.

A de nombreuses périodes depuis sa création il y a 87 ans, notre Chambre de Commerce a déployé de remarquables efforts pour créer un climat propice aux affaires et renforcer ainsi les relations commerciales entre le Gabon et le reste du monde. La période de laquelle nous sortons ne peut être compté parmi celles-ci. Vous l’avez constaté avec moi, et vous faites le choix de ramener ces efforts pour qu’elle réémerge et compte parmi les grandes Chambres de Commerce du monde.

Les élections nous connaîtrons les 4 et 11 Novembre 2022, constituent un rendez-vous déterminant qui permettra aux hommes d’affaires d’établir pour certains, et de rétablir pour d’autres, des liens précieux. Il permettra aussi d’identifier les secteurs d’activités prometteurs et innovants pouvant contribuer à l’essor de nos entreprises et partant, de l’économie de notre pays.

Je me réjouis, par avance, de la confiance que vous me manifesterez, le moment venu, en me retenant comme votre Représentant. En acceptant d’être candidat, j’accueille démontrée par mes pairs qui m’accorderont, le privilège de les représenter. La pandémie a certainement été un défi de taille qu’aurait vécu le bureau sortant et c’est loin d’être terminé. J’accepte avec enthousiasme de relever le défi dont je ne serai que la tête de proue et vous, les pièces essentielles. Ensemble, nous contribuerons à relancer une économie en crise pour la rendre forte, prospère et durable.

J’affirme avec force que La Chambre de Commerce est une institution importante dans l’écosystème économique de notre région. Elle est donc pour notre pays, un acteur incontournable de son développement. L’histoire vécue son existence (j’y fais déjà allusion, ci-dessus), en fait largement état.

Le plan d’actions économiques que je propose, inclue des mesures destinées à (1) créer et maintenir des emplois, (2) négocier avec les plus hautes autorités, le reprofilage de la dette globale, le paiement de la dette intérieure, la réduction des impôts, la construction des infrastructures et, (3) investir dans la formation pour produire les compétences qui permettront d’assurer la prospérité du monde des affaires à court, moyen et long terme.

Les atouts économiques du Gabon, notre pays, sont reconnus par des instances internationales comme le Forum économique mondial, le FMI, la Banque Mondiale, l’Agence Française de Développement, l’Organisation de coopération et de développement économique, la Banque Africaine de Développement, ainsi que les autres Chambres de Commerce du monde. Montrons à toutes ces instances que nous le méritons.

Je reste persuadé qu’au terme de la consultation à venir, le Bureau de notre institution participera à la création des conditions favorables à l’établissement de partenariats économiques qui profiteront à tous, sans la moindre distinction. Je serais heureux d’être avec vous pour ce nouveau Challenge. Je nous souhaite, fort de cela, une mission commerciale des plus fructueuse.

Mon leitmotiv avec vous : « Etre unis et Ensemble. »

Je vous remercie

 

1– Bref rappel Historique

En jetant un petit coup d’œil sur l’activité commerciale au XVIIIe siècle, cela a suscité très tôt, la création d’institutions capables de représenter les marchands d’une localité. Avec l’industrialisation qui s’annonce à la fin du XVIIIe
siècle, ces institutions ont pris l’appellation de Chambres Consulaires et concernent les marchands, les
artisans mais également les industriels.
Profitant de l’impulsion donnée par Chaptal en 1802, qui rétablit les Chambres de Commerce supprimées en 1791, ces structures deviennent, au fil du XIXe siècle, incontournables.

Autrement dit, l’État a confié les clés des Chambres de Commerce à des entrepreneurs, sous réserve de respecter le cadre légal de leur mission, et moyennant une tutelle a posteriori pour contrôler notamment la situation
financière c’est le cas d’une tutelle des ministères de l’Economie et des Finances, ensuite une tutelle technique qu’assure le ministère du Commerce. Au fil des textes officiels ces prérogatives devraient évoluer. Il importe de prendre urgemment une ordonnance
qui devrait distinguer trois types d’attributions : le fait «de donner au gouvernement les avis et renseignements qui leur sont demandés de sa part sur les faits et les intérêts industriels et commerciaux » ; celui de « présenter leurs vues » sur des thèmes incluant les questions douanières ; enfin, le fait que leur avis soit demandé « spécialement » sur des questions précises touchant à la législation et aux outils locaux du commerce, de l’agriculture, des mines, des bourses, de la finance,
des travaux publics, de l’énergie, du numérique, du courtage etc.

En réalité ce texte légaliserait des situations existantes et à créer. Nous devons pouvoir apprécier le rôle à jouer
par la chambre de commerce et ses démembrements
dans le renseignement technologique, c’est avant tout éclairer le thème par les lumières d’une étude de cas.
Implantée au cœur de l’industrialisation gabonaise, la Chambre de Commerce doit constituer un exemple de choix.

2– Chambre de Commerce du Gabon

Les missions de la Chambre de Commerce du Gabon
sont contenues dans le Décret n° 0728 du 11 Juin 2011, ainsi que dans un chapitre du Code de Commerce.

Les dispositions des articles 5 et 15 de ces textes stipulent que :

Article 15 : La Chambre de Commerce du Gabon est un établissement public à caractère administratif placée sous la tutelle déconcentrée de l’Etat. Elle a pour mission principale de représenter les intérêts du milieu des affaires du pays et d’offrir une gamme intégrée de services aux entreprises.

Article 5: Elle a aussi pour mission :
– d’accompagner les porteurs de projets, les entreprises et les territoires dans leur développement économique ;
– de représenter et porter la voix des entreprises auprès des pouvoirs publics ;
– d’informer les entreprises et faciliter leurs formalités administratives ;
– de Former et développer les compétences des dirigeants d’entreprises, des salariés et des jeunes en alternance ;
– de Gérer les équipements d’intérêt public.
Ses différentes missions seront définies précisément par la loi qu’il va falloir élaborer et se trouvent pour l’ins-
tant dans le Décret n°0728 du 11 Juin 2011. Et aussi dans un chapitre du code de commerce.
La chambre de Commerce du Gabon doit se préoccuper de manière globale et permanente d’aménagement du territoire, de développement économique, d’appui aux
entreprises et aux créateurs et de soutien aux réseaux.
Elle est légitime pour intervenir dans l’ensemble de la sphère économique sous forme de lobbying, de conseil,
d’accompagnement, d’études, de gestion d’équipements, de formation, d’investissements.
En contrepartie de certaines missions de service public qui lui sont demandées par l’État, la Chambre de Commerce est habilitée à percevoir une petite fraction de l’impôt des entreprises, autrefois la taxe professionnelle. Elle doit pour le reste se financer par des ressources propres, et parmi lesquelles la mise en place d’un fonds de Garantie des Entreprises.

3- Mon Programme

Regardons ensemble vers l’avenir.

En vous invitant à regarder,  avec moi, vers l’avenir,  je souhaite:

– Que la Chambre de Commerce du Gabon maintienne et continue de soutenir les actions nécessaires pour triompher des difficultés auxquelles le milieu des affaires est confronté. Son rôle de porte-parole des opérateurs économiques devra être plus que jamais de mise et il lui faudra absolument maintenir ses efforts sur ce plan grâce au renouvellement à venir de son Bureau. La pandémie aura certes porté un coup
dur à bien des entreprises, mais je crois qu’elle nous a aussi offert des opportunités à saisir.
Grâce à elle, en effet, et à tout ce qu’elle a
drainé comme effets, des défis de taille s’offrent dorénavant à nous. Nous pourrons ainsi, ensemble, faire en sorte que notre Chambre de Commerce devienne un important adjuvant
pour nos entreprises et une organisation sachant motiver et porter des améliorations.

 

– Que nous impliquions dans divers débats en lien avec les missions de notre Chambre, notamment en ce qui concerne la gestion des projets d’intérêts économiques, sociaux, financiers, commerciaux, industriels et écologiques du Gabon.

– Que notre la Chambre de Commerce fasse du développement dynamique des affaires de ses membres, son principal enjeu des cinq (5) prochaines années. Elle leur prêtera une oreille attentive, fera une lecture exacte des besoins des entrepreneurs du territoire, prendra la juste mesure du potentiel de développement de son milieu et saura saisir clairement les défis liés à la mondialisation de son économie.

– Que notre Chambre de commerce continue de s’interroger sur ses façons de faire et ait toujours pour objectif l’amélioration de son efficacité, qu’elle utilise son plein potentiel d’association avec les entrepreneurs et organismes du milieu, suscite davantage les occasions d’affaires ou de partenariats et crée ainsi des retombées positives pour le Gabon.

– Que notre Chambre de Commerce entame sa progression vers l’excellence et agisse comme une force mobilisante capable d’appuyer plus que jamais ses membres, très petits, petits et moyens, intermédiaires et grands.

– Que nous nous appliquions, alors que le contexte économique et géopolitique doit être amélioré et harmonisé, à encourager la collaboration à l’échelle nationale du milieu des affaires du Gabon. Les années à venir seront décisives pour l’avenir de nos villes et provinces, nous travaillerons ensemble pour défendre leurs intérêts. Les grandes villes du Gabon sont une force motrice incontestable de l’innovation au pays. Elles devraient agir comme de véritables locomotives pour rallier les entreprises, les talents et le capital. Bien que nous constations une reprise timide généralisée, les centres-villes des grandes villes du Gabon continuent de souffrir des conséquences de la double crise économique et sanitaire. Dans ce contexte, nous allons proposer une approche commune pour soutenir ces zones névralgiques de l’économie Gabonaise. Cette initiative, nous la dénommerons : « J’aime travailler avec tous ». Nous montrerons ainsi qu’il est possible de mobiliser l’ensemble des acteurs économiques autour d’une grande initiative pour relancer les grandes-villes. Ce mouvement d’ensemble devra s’étendre sur l’ensemble du territoire national. Nous demanderons, forts de cela, au gouvernement de s’investir davantage.

– Que nous veillions à ce que se développe une politique environnementale qui se préoccupera des conséquences de l’activité humaine sur les ressources de la terre en ce que la croissance de la population mondiale, qui devrait atteindre 11,5 milliards de personnes en 2100, pose la question du « butoir écologique » du capitalisme. Cette démarche nous aidera à répondre aux questions suivantes : (1) Les ressources terrestres permettent-elles de faire face à cette hausse ? (2) Quelles conséquences sur l’épuisement des ressources ? (3) Quelles sont les conséquences prévisibles de l’activité humaine sur le réchauffement climatique et l’accès à l’eau ?

(4) Qu’en est-il des perspectives alimentaires (sachant que selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) déclarait déjà en 2018 qu’environ 820 millions de personnes étaient sous-alimenté) ? Sachant que l’empreinte écologique de l’humanité s’accroît, les dégradations de l’environnement se multiplient et les atteintes à la biodiversité sont réelles.

– Que nous œuvrions pour l’établissement d’une croissance inclusive qui ne laisse personne au bord de la route. Notre outil devra ainsi faire comprendre aux chefs d’entreprises les fondements de leur compétitivité.

– Que nous défendions les intérêts économiques, sociaux, financiers, commerciaux, industriels et écologiques de notre pays. Notre mandat serait ainsi la promotion et la défense des intérêts d’affaires des opérateurs économiques opérant au Gabon.

– Que nous proposions au pouvoir exécutif l’élaboration de lois portant, entre autres, sur la modernisation de l’Économie et la Cohésion Sociale.

– Que nous nous assignions un objectif de promotion économique, civique et sociale pour travailler dans une perspective de bien-être collectif des entreprises.

En vous exposant ces souhaits véhéments à mes yeux, je nous invite à comprendre et à réaliser que notre pays a besoin, sans attendre, d’un choc de compétitivité sur ce qui est dénommé « la compétitivité-coût », pour donner un coup de fouet à l’économie de notre pays. Les coûts que je répertorie sont au nombre de sept (7) :

1– Le coût du travail ;

2- Le coût des déficits ;

3- Le coût de l’énergie ;

4- Le coût des ressources stratégiques ;

5- Le coût et les contraintes du financement ;

6- Le coût de la monnaie ;

7- Le coût et les contraintes des régulations environnementales.

Leur maîtrise par notre structure va permettre à nos entités d’être effectivement plus compétitives et agiles pour lutter sur l’échiquier international en observant les cinq (5) critères suivants, rassemblés par nous en « 5 S ».

Nous les amenons en les qualifiant d’abord :

1– Simple, (un environnement simplifié) : pour simplifier la complexité ;

2- Stable, (un environnement stabilisé) : nos entreprises ont besoin de stabilité dans la règlementation sociale, fiscale, environnementale, pour construire des scénarios, élaborer des business plans, prendre des décisions, etc. ;

3- Serein fiscalement, (un environnement serein fiscalement) : le Code des impôts est, avec le Code du Travail, un des éléments de démotivation les plus marqués du Chef d’entreprise gabonais. Le Pouvoir exécutif gouvernement devra comprendre que s’il durcit davantage notre fiscalité déjà très lourde, punitive, coercitive, voire, dogmatique, il s’expose à de graves problèmes avec les forces vives qui, non seulement ne créeront plus de richesses et d’emplois pour le pays, mais quitteront plutôt le pays ;

4- Souple socialement, (un environnement souple socialement) : pour s’adapter dans un monde qui bouge constamment. Nos entreprises progressent entre deux tapis roulants qui évoluent constamment : en aval, celui du marché et des besoins clients ; en amont, celui des sciences et des technologies ;

5- Sécurisé juridiquement, (un environnement sécurisé juridiquement) : un plan de réduction d’effectifs accepté et négocié d’un commun accord entre l’entreprise, les salariés et leurs représentants ne devrait pas être remis en cause par un magistrat.

Pour redonner espoir aux entreprises, Je prends l’engagement grâce et avec vous, de montrer à notre Chambre de Commerce, le cap pour le bonheur des entreprises. Je considère que nous avons tout en main pour appuyer le dynamisme des entreprises qui contribuent à la prospérité de notre milieu. Notre présence et plus encore, notre enracinement, nous permettront de démontrer concrètement notre solidarité à tous les niveaux de la vie économie du pays. Je veux que notre structure fasse du développement dynamique des affaires de ses membres son principal enjeu des cinq (5) prochaines années. En prêtant une oreille attentive à chacun, elle fera une lecture exacte des besoins des entrepreneurs du territoire, prendra la juste mesure du potentiel de développement de son milieu et saura saisir clairement les défis liés à la mondialisation de son économie. Elle continuera de s’interroger sur ses façons de faire et aura toujours pour objectif, l’amélioration de son efficacité. Elle utilisera son plein potentiel d’association avec les entrepreneurs et organismes du milieu, suscitera davantage les occasions d’affaires ou de partenariats et créera ainsi des retombées positives pour le Gabon. Par la force de ses membres et par la solidité des liens qu’ils auront tissés entre eux, La Chambre de Commerce poursuivra sa progression vers l’excellence et continuera d’agir comme une force mobilisante capable d’appuyer plus que jamais ses membres, petits, moyens et grands.

Mesdames et Messieurs les Chefs d’entreprise, mes chers collègues, Je nous invite à bâtir une Chambre de Commerce forte. C’est ce que mon programme prévoit pour le monde des affaires. Le Gabon, et nous Gabonais, appartenons à la zone CEMAC, à l’Afrique. Il faut donc saisir l’opportunité magistrale de se rapprocher politiquement et économiquement de nos voisins Africains, pour faire de notre pays une partie intégrante du continent. Particulièrement, un territoire de paix et de développement. Nous devons pour cela bien le structurer sur les plans économique, technologique et industriel. En faire un Gabon politique et économique décomplexé.

Faisons-en sorte que la Chambre de Commerce du Gabon agisse dorénavant comme un catalyseur à la structuration et à la promotion des forces économiques présentes sur son territoire. Son mandat reposera ainsi sur des actions majeures suivantes :

Rassembler les hommes d’affaires lors d’activités de réseautage ;

Consulter ses membres afin de définir les axes d’actions stratégiques ;

Réaliser des opérations marketing pour soutenir la visibilité et viabilité des différents secteurs d’activités qui composent son tissu économique ;

Promouvoir le dynamisme et le potentiel économique de son territoire pour encourager les investissements et la création d’emplois dans l’ensemble du pays.

De la sorte, nous contribuerons à ce que :

La Chambre de Commerce du Gabon devienne un interlocuteur incontournable, en mesure de représenter TOUS les acteurs de la scène économique du Gabon, en offrant son poids d’intervenant pour défendre les intérêts de TOUS ses membres.

La Chambre de Commerce du Gabon soit en action constante auprès de l’opinion publique et des gouvernements, afin de faire progresser les dossiers affectant le développement économique et social de l’ensemble du territoire.

La Chambre de Commerce du Gabon ECOUTE ses membres pour définir, en concertation, les dossiers majeurs qui permettront de faire avancer l’économie gabonaise.

La Chambre de Commerce du Gabon PRENNE LA PAROLE en notre nom, auprès des élus ainsi que du grand public, afin de faire avancer les dossiers qui nous préoccuperont et nous INFORME des décisions, projets, programmes ou autres interventions des gouvernements qui nous prépareront à réagir collectivement.

 

La Chambre de Commerce du Gabon contribue au développement économique durable du territoire, afin d’en faire un milieu propice au démarrage, à la rentabilité et à la croissance de toutes les entreprises.

La Chambre de Commerce du Gabon devienne un partenaire incontournable et un influenceur de choix pour les hommes d’affaires et la collectivité.

La Chambre de Commerce du Gabon ait à cœur la vitalité et le développement économique du pays et en soit le porte étendard, pour permettre à ses membres de rayonner à leur juste valeur et à la hauteur de leurs rêves et ambitions.

La Chambre de Commerce du Gabon aide les gouvernants dans des normes et des réglementations adaptées, avec une priorité : soutenir le développement économique, la création de richesses et d’emplois au Gabon.

La Chambre de Commerce du Gabon participe au renforcement du contrôle de nos frontières en obtenant la mise en œuvre du concept de responsabilité sociale et environnementale pour que nos compétiteurs non-gabonais jouent avec les mêmes règles que nous.

Fort de tout ce qui précède, je nous invite à nous entourer des Valeurs fondamentales suivantes :

L’intégrité — La Chambre témoignera son engagement envers ses membres en assurant une cohérence et une transparence de son action en faisant preuve d’honnêteté face à tous ses partenaires.

Le respect et l’équité — La Chambre se devra être en tout temps, juste et équitable dans ses actions, prises de décisions et dans sa prestation de services. Le respect lui permettra de soutenir nos membres sans jugement.

Le leadership — La Chambre mobilisera et soutiendra ses membres. Elle deviendra une grande famille qui assure la réussite économique de son territoire. De la collaboration naîtra de grandes choses !

L’innovation — La Chambre cultivera la créativité. De ce fait, elle sera toujours à la recherche des meilleures pratiques, afin de proposer une offre de service actuelle et centrée sur les besoins évolutifs de ses membres. La créativité génèrera des tempêtes d’idées et des solutions novatrices.

« Etre unis et Ensemble » pour une Chambre de Commerce du Gabon qui gagne avec les entreprises membres et notre pays, le Gabon. Telle est mon ambition.

Francis Jean Jacques EVOUNA

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