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Séminaire sur la stabilisation des prix des produits pétroliers à Libreville

AD – Libreville (Gabon) – Par Larson Koumba : La commission nationale des produits pétroliers s’est ouverte mardi, à Libreville en vue d’analyser les structures en amont et en aval des prix ces hydrocarbures.

Pendant deux jours, les responsables en charge de la commission des prix des produits pétroliers assistés du cabinet CITAC ont présenté les conclusions qui auront pour objectif final, la mise en place des prix des produits pétroliers qui arrangerait toutes les parties.

L’analyse de ces produits reste assez complexe aux dires du responsable du cabinet CITAC. James Mc Cullagh : « laquelle débute par la cotation à faune, qui permet d’avoir des informations sur la provenance du produit fabriqué au Gabon. En prenant la cotation à faune, il y a des centaines de possibilités concernant le choix de ce chiffre. L’objectif est de pousser tous les acteurs à plus d’efforts en vue de récompenser chacun d’eux de manière juste, afin que l’investissement se fasse au lieu où le besoin est exprimé »r.

Cette analyse a débuté par la partie amont c’est à dire du lieu de provenance du produit, jusqu’au port de déchargement, puis se consacrer à la partie avale notamment le terminal d’importation autrement dit des raffineries jusqu’à la consommation industrielle. Ce sont toutes ces différentes étapes qui été e examinées point par point par les différents experts.

Si les structures gabonaises en charge des prix restent cohérentes au plan administratif selon James Mc cullagh, cependant, elles nécessitent tout de même une révision pour plus d’efficacité.

Pour sa part, le président du syndicat libre des transports terrestres du Gabon (SYLTEG), Robert Menié qui a salué la ténue de cette rencontre milite en faveur de la satisfaction complète et même à la baisse des prix des produits pétroliers.

« L’une de nos attentes, est d’arriver à une satisfaction complète et même à la baisse des prix en revoyant certaines rubriques, notamment la partie droits et taxes, c’est une rubrique qui incombe à l’État. A défaut de subventionner les produits pétroliers, l’État pourrait revoir cet aspect proposé à la structure des prix, pour qu’à la fin nous ayons des prix moins élevés », a-t-il souhaité.

LK/PIM/19

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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